04 94 31 40 01 contact@artemis-paie.fr
Une salariée d’AG2R Réunica, engagée en qualité de gestionnaire de carrière, prend acte en septembre 2015 de la rupture de son contrat de travail. En octobre 2015, elle saisit la juridiction prudhomale en demandant que la prise d’acte produise les effets d’un licenciement nul, ainsi que des dommages et intérêts pour harcèlement sexuel et manquement par l’employeur à son obligation de sécurité.
 
Pas de harcèlement = respect de l’obligation de sécurité ?
A la une
Les juges peuvent constater l’absence de harcèlement, sexuel ou moral. Pour autant, cela ne veut pas dire que l’employeur a bien respecté son obligation de sécurité à l’égard du salarié qui se prétend victime d’un tel harcèlement.