Le salarié a droit au respect de sa vie personnelle au sein de l’entreprise et en dehors de celle-ci.
L’émoi suscité par la réintégration d’un salarié condamné pour des faits d’agression sexuelle sur mineur peut justifier son licenciement pour trouble objectif au bon fonctionnement de l’entreprise, même si les faits relèvent de la vie privée de l’intéressé.
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13/06/2023
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